ALIMENTATION
Ce petit guide renferme une mine de renseignements utiles pour mieux
s'alimenter et des conseils pour mieux gérer son alimentation,
notamment, par des trucs et astuces pour se maintenir au mieux grâce à
une bonne alimentation, de l'information sur les aliments
indispensables, la conservation de la nourriture et par l'achat
d'aliments sains, le maintien de son poids et l'hydratation.
Pour en obtenir une copie, cliquez sur le titre suivant : Bien s'alimenter pour vieillir en santé.
Source : Institut universitaire de gériatrie de Montréal (IUGM)
RD
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Tout n'est qu'apprentissage dans la vie! S'ouvrir l'esprit aux idées nouvelles, développer des projets et s'adapter aux changements sont des gages de bonheur et de longévité.
mardi 26 mars 2013
États-Unis: une personne âgée sur trois meurt avec l'Alzheimer
Une personne âgée sur trois aux États-Unis meurt avec la maladie d'Alzheimer ou avec une autre forme de démence, selon un rapport de l'Association américaine d'Alzheimer.
Une personne âgée sur trois aux États-Unis meurt avec la maladie d'Alzheimer ou avec une autre forme de démence, selon un rapport de l'Association américaine d'Alzheimer publiée récemment.
"Aujourd'hui il n'y a pas de survivant d'Alzheimer, soit que vous en mourrez ou vous mourrez avec", relève Harry Johns, le président de l'Alzheimer's Association.
"Nous savons désormais qu'une personne âgée sur trois décède avec Alzheimer ou avec d'autres démences et il est urgent d'agir alors qu'avec le vieillissement de la population, un nombre croissant de personnes risquent d'être victimes de cette dégénérescence cérébrale incurable et sans encore de traitement pour ralentir ou arrêter sa progression", ajoute-t-il.
La maladie d'Alzheimer est la sixième cause de mortalité aux États-Unis avec 83.494 décès en 2010, soit une augmentation de 39% sur dix ans, indiquent les dernières statistiques fédérales.
Selon les chiffres de l'American Alzheimer Association, 450.000 personnes décéderont avec cette maladie en 2013, dont une partie importante directement à cause de cette pathologie chronique.
Même quand la maladie d'Alzheimer n'est pas la cause directe du décès, elle y contribue dans une large mesure, soulignent les auteurs de l'étude.
Une récente recherche effectuée sur ce sujet à partir d'un échantillon national a montré que la démence est le second plus important facteur de mortalité après la défaillance cardiaque.
Ainsi, chez des septuagénaires atteints d'Alzheimer, la probabilité de décéder dans les dix ans est de 61% contre seulement 30% pour ceux ne souffrant pas de cette maladie, indique l'étude.
Alzheimer affecte 36 millions de personnes dans le monde dont 5,5 millions d'Américains. Ce nombre pourrait atteindre 13,8 millions en 2050 aux États-Unis.
Le coût pour le système de santé est élevé et devrait atteindre 203 milliards de dollars en 2013, dont 142 milliards pour Medicare, l'assurance maladie fédérale pour les retraités, et Medicaid, la couverture pour les plus pauvres, selon une estimation de l'American Alzheimer Association.
Sans avancée médicale contre la maladie, ce coût devrait augmenter de 500% d'ici 2050 pour atteindre 1.200 milliards de dollars, prédit l'association.
Selon US Against Alzheimer, une fondation privée en pointe contre la maladie, les États-Unis devraient consacrer deux milliards de dollars par an à la recherche pour combattre Alzheimer, soit 4,4 fois plus que le budget actuel.
Source : AFP, le parisien.fr
COMMENTAIRE DE PHILOMAGE
Est-ce qu'il existe un remède contre le vieillissement ? Non ! Alors, toute société n'a pas le choix : elle doit s'occuper de ses citoyens, du berceau à leurs derniers moments de vie. Ce qui compte, c'est la poursuite de la vie humaine dans le temps, au fil des générations. C'est le prix à payer pour faire progresser l'humanité en renouvelant ses forces vitales. L'économie est au service des hommes et non l'inverse. La richesse fondamentale, c'est le capital humain et non l'accumulation des capitaux financiers.
RD
mercredi 20 mars 2013
GRAND ÂGE, CORPS et YOGA.
Article de René Alise, retraité, paru en mai 2007 sur le site de Henri Charcosset :
http://bien.vieillir.perso.neuf.fr/grand_age_et_yoga.htm
Malgré
le poids des ans ou un handicap, parfois les deux c'est mon cas, il est souhaitable
de ne pas abandonner une certaine activité physique compatible avec son
état. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce temps
consacré au corps n'est pas perdu bien au contraire. Il nous est
toujours rendu sous une forme gratifiante de mieux être pour ne pas dire
de bien-être.
Si
l'on pratique déjà un plaisir corporel ou si l'on a
été l'adepte d' un sport que l'on peut adoucir l'âge
venant, bien entendu il est logique de continuer, dans la mesure où la
satisfaction en est l'aboutissement et que les énergies sont encore au
rendez-vous.
Mais
on doit s'interdire tous les efforts importants et prolongés qui
amènent un surmenage de nos fonctions primordiales telles que la
respiration ou les battements du cœur. Sont donc éliminés
d'entrée tous les sports au sens anglo-saxon du terme qui correspondent
à des jeux d'équipes avec un résultat à la
clé , rugby, football, basket…Nous mettrons dans cette même
catégorie bien qu'ils viennent d'une lointaine origine hellénique,
les courses, sauts ou lancement d'engins pratiqués lors des premiers
Jeux Olympiques.
En
recherchant des activités douces, compatibles avec ce que nous sommes aujourd'hui,
voyons ce que nous propose l'Extrême Orient dans sa palette de couleurs
et de diversité? L'Inde bien sûr c'est le Yoga! On devrait dire
les Yogas, car en fait chez nous on pratique surtout le Hatha-yoga
essentiellement physique. Le Do-In ou auto-massage, le Shiatsu massage à
deux et le Zen appelé parfois Assise en silence dans les milieux
spirituels Occidentaux, viennent du lointain Japon. Enfin nous devons à la Chine l'universel T'ai Chi
Chuan, gymnastique lente qui fait travailler en douceur tous les membres du
corps et pour activer les énergies subtiles du corps le Qi Gong.
Soulignons
que toutes ces activités qui s'initient en groupe peuvent très
bien se pratiquer seul, chez soi sans aucune installation ni tenue
particulières. Il suffit d'un tapis, quoi de plus simple ?
Ces
différents Arts de vie ont des points communs importants que l'on ne retrouve
presque jamais dans nos activités occidentales. En Orient on
s'intéresse au corps dans sa globalité c'est-à-dire non
seulement aux muscles et aux articulations mais aussi à la respiration
ainsi qu'à l'attention portée aux mouvements, postures et massages
pratiqués.
C'est
donc une véritable prise en charge holistique de l'être. En effet
notre équilibre de vie ne peut s'exprimer qu' en fonction de plusieurs
composants s'harmonisant entre eux. Parlons d'abord du corps,
élément grossier, notre véhicule comme on l'appelle en
Inde. Ensuite un outil merveilleux le cerveau qui génère nos
pensées, nos émotions, tout ce qui touche au délicat
psychisme. Enfin notre respiration presque toujours naturelle mais qui apporte
d'autres bienfaits lorsqu'elle est consciente C'est elle qui fait l'heureuse
liaison entre le mécanisme grossier et la subtilité du cerveau.
Ne
cachons pas que ces techniques douces venant de l'Extrême-Orient
sous-tendent une démarche spirituelle plus ou moins prégnante. Par exemple
le Yoga en Inde vise à la réalisation de l'homme. Taoïsme et
confucianisme caractérisent la
Chine traditionnelle tandis que le bouddhisme universel a une
forte implantation au Japon.
Dans
la recherche d'un légitime bien-être nous avons à notre
disposition des activités bien de chez nous. Citons la Gymnastique douce ou
bien la Gymnastique
volontaire enseignées dans les Centres sociaux, Maisons de quartier ou
Salles polyvalentes. Culture physique, Relaxation, Détente nous sont
proposées par des Instituts, Clubs et autres Fitness qui englobent de nombreuses
activités remuantes aux sons d'une musique dynamique qui ne
correspondent pas à nos propos.
J'aurais garde de ne pas mentionner la Natation si la pratique est physiquement possible. Pour ma part devenant de plus en plus frileux, je ne supporte plus la température trop basse de nos piscines. Depuis quelques années j'ai donc abandonné à regret cet excellent exercice. Parlons aussi de la Randonnée ou plus simplement la marche à pieds. Mon arthrose des genoux m'interdit de marcher correctement sans une certaine gène. Il y a quelques années des amis m'ont conseillé l'utilisation des cannes. Pas n'importe lesquelles mais des télescopiques, presque élégantes, qui s'ajustent à la bonne hauteur des bras de chacun. Depuis que la marche m'est redevenue possible, les dimanches nous partons en groupe pour des promenades de six à dix kilomètres dans les Monts du Lyonnais. Le poids du corps s'appuie en grande partie sur ces cannes qui soulagent d'autant les jambes tout en apportant une sécurité dans l'équilibre.
Pourquoi
évoquer longuement ce corps que nous habitons ? Il a pourtant subi les
redoutables assauts de la vie, accidents, handicaps et surtout l'atteinte du
temps qui se traduit par une usure inexorable. C'est sans doute le souci plus
ou moins avoué de nous. Saint Exupéry dans son livre "
Pilote de guerre " nous en parle avec passion : On s'est tant occupé de son corps ! On l'a tellement
habillé, lavé, rasé, soigné, abreuvé,
nourri. On s'est identifié à cet animal domestique. On l'a
conduit chez le tailleur, chez le médecin, chez le chirurgien. On a
souffert avec lui. On a crié avec lui. On a aimé avec lui. On a
dit de lui : c'est moi. Et voilà tout à coup que cette illusion
s'écroule...
Mes
amis savent bien quelle est mon activité préférée pour me concilier ce corps. Je m'en suis
expliqué dans un article précédent : " Yoga et
vieillissement avec handicap. " J'y reviens avec plaisir en
résumant.
En
Inde c'est une philosophie parmi d'autres, dont l'un des premiers paliers
concerne le corporel. Dans leur sagesse les Hindous pensent qu'avant de
prétendre aux envolées métaphysiques il convient
d'être bien dans sa peau !
Au ras du tapis cette discipline s'exprime au travers de postures ou " asânas " que notre corps accepte de prendre, toujours en douceur et surtout en harmonie avec la respiration ou " prânâyama" . Enfin le troisième élément "dhyâna " le mental, nous incite à contrôler nos pensées. Remarquons que cette triple association se retrouve facilement dans d'autres démarches philosophiques...
RD
mardi 5 mars 2013
Perspectives d'une vie en bonne santé beaucoup plus longue.
Article de Didier Coeurnelle
Vice-président de l'AFT Technoprog! et coprésident de Heales (Healthy Life extension Society)
« Nous ne vieillirons pas ensemble »
http://blog.transhumanistes.com/search/label/Immortalit%C3%A9%20biologique
Chaque jour, la mort, la grande faucheuse, fait
son travail avec un peu plus de difficulté. En effet, chaque jour nous
gagnons environ 6 heures d'espérance de vie. Ces progrès ne sont pas
également répartis. Contrairement à ce que beaucoup pensent, c'est dans
la plupart des pays du Sud et non pas dans les pays du Nord que les
progrès sont les plus rapides. Une étude vient d'être publiée dans le
prestigieux magazine médical le Lancet, décrivant l'évolution mondiale
de la santé de la population durant ces dernières décennies. Cette
recherche est peu médiatisée dans le public francophone comme souvent
pour des travaux qui démontrent des évolutions positives. Le lecteur de
la presse anglophone y découvrira notamment que dans des pays comme le
Bangladesh, l'Iran ou le Pérou, depuis les années 70, la durée de vie
moyenne a cru de plus de 20 ans.
En Europe, en 40 ans, nous avons gagné environ 10 années d'espérance de vie. La majorité de ces années sont des années en bonne santé. L'évolution moindre ici est due au fait que, dans les pays les plus riches, la durée de vie moyenne était déjà élevée auparavant et la mortalité infantile était déjà très faible. Les progrès de la santé dans les pays riches se concentrent donc là où les gains sont les plus difficiles: chez les personnes les plus âgées. Mais les avancées sont quand même considérables. La mortalité liée au cancer recule progressivement mais inexorablement. De manière générale, le taux de survie dans les 5 ans au cancer qui était de plus ou moins un tiers dans les années 70 approche maintenant les deux-tiers dans plusieurs pays d''Europe occidentale. En Belgique une étude récente confirme que le pourcentage de décès dans les 5 années après la découverte d'un cancer diminue de près d'un % par an. Le cancer du sein, la maladie qui était dans les années 70, un des symboles du mal moderne presque incurable, devient progressivement une maladie chronique non mortelle.
En Europe, en 40 ans, nous avons gagné environ 10 années d'espérance de vie. La majorité de ces années sont des années en bonne santé. L'évolution moindre ici est due au fait que, dans les pays les plus riches, la durée de vie moyenne était déjà élevée auparavant et la mortalité infantile était déjà très faible. Les progrès de la santé dans les pays riches se concentrent donc là où les gains sont les plus difficiles: chez les personnes les plus âgées. Mais les avancées sont quand même considérables. La mortalité liée au cancer recule progressivement mais inexorablement. De manière générale, le taux de survie dans les 5 ans au cancer qui était de plus ou moins un tiers dans les années 70 approche maintenant les deux-tiers dans plusieurs pays d''Europe occidentale. En Belgique une étude récente confirme que le pourcentage de décès dans les 5 années après la découverte d'un cancer diminue de près d'un % par an. Le cancer du sein, la maladie qui était dans les années 70, un des symboles du mal moderne presque incurable, devient progressivement une maladie chronique non mortelle.
Après-demain, vieillirons-nous encore ?
Au début du 20e siècle, nous étions souvent vieux et en mauvaise santé dès 50 ou 60 ans. Aujourd'hui, c'est plus fréquemment à 70 ou 80 ans. Nous vivons des temps vertigineux dans le domaine de la santé, souvent sans nous en rendre compte. Les perspectives à moyen ou long terme sont bien plus vertigineuses encore. Elles concernent entre autres :
- Les nouveaux produits. De par le monde, sur des hommes, sur des souris et sur d'innombrables autres êtres vivants, systématiquement ou involontairement, l'être humain expérimente des millions de produits et méthodes ayant une influence sur la durée de vie. L'observation de ces expérimentations nous permet de découvrir de nouvelles méthodes pour gagner des années de vie en bonne santé mais elle n'est pas encore suffisamment systématique.
- Les cellules souches. Une cellule normale de l'organisme ne se divise qu'une cinquantaine de fois. Cependant, certaines cellules de notre corps se reproduisent sans limitation. Ce sont les cellules souches. Les expérimentations d'introduction de ces cellules dans le corps pour régénérer des tissus et des organes se multiplient. Les progrès dans ce domaine peuvent notamment être liés à une meilleure compréhension des mécanismes de régénération chez d'autres êtres vivants. Nous pouvons déjà régénérer naturellement notre peau et une partie de notre foie. Certains batraciens, reptiles et poissons peuvent régénérer des membres entiers.
- Les thérapies géniques. Le vieillissement est un phénomène d'une complexité extraordinaire qui n'est pas encore pleinement compris. Mais il est certain que des espèces animales très proches ont des durées de vie maximales très différentes. Il est certain également que des individus vivent plus longtemps que d'autres notamment pour des raisons d'ordre génétique. Il est déjà possible d'appliquer des thérapies géniques pour guérir quelques maladies. Les thérapies géniques pour transformer nos cellules en cellules plus résistantes à la vieillesse sont envisageables à terme.
- Les nanotechnologies médicales. La chirurgie se fait de plus en plus précise et de moins en moins invasive. Mais ce n'est que le début. La combinaison de la médecine, de l'informatique et des nanotechnologies pourraient permettre, un jour, d'introduire dans notre corps, des "nanorobots" capables de nous réparer de l'intérieur en réparant les tissus, détruisant les amas graisseux, attaquant les sources d'infection,...
- Le mental ("l'esprit") changeant de corps. A beaucoup plus long terme ou en tout cas dans un futur beaucoup plus hypothétique, il est envisageable que nous soyons capables de transférer notre conscience sur un support informatique. Beaucoup estiment que ce futur est trop disruptif pour être un espoir à court ou à moyen terme. A court ou moyen terme, faire fonctionner notre "bon vieux corps" de manière améliorée apparaît comme plus souhaitable.
Aujourd'hui, comme chaque jour, 100.000 personnes meurent de maladies liées au vieillissement. Il s'agit des deux-tiers des décès de la planète. Toutes les autres causes réunies de mortalité dans le monde, de la malnutrition aux épidémies en passant par les guerres, le terrorisme, la criminalité, les accidents de voiture, la pollution,... tuent donc deux fois moins. Tout progrès médical dans les domaines cités plus haut peut permettre de sauver des vies à une échelle inégalée. Ces progrès peuvent être utiles non pas seulement ici et maintenant, dans nos pays riches mais partout dans le monde aujourd'hui et dans le futur.
Cela ne se passera pas sans difficultés. Les maladies cardiovasculaires et les cancers reculent spectaculairement mais la suralimentation et certaines pollutions sont très loin d'être des phénomènes maîtrisés. De plus, vu la durée de vie plus longue, les maladies neurodégénératives, particulièrement la maladie d'Alzheimer touchent un nombre plus important d'individus. L'évolution des consciences et les progressions techniques sont en cours mais restent insuffisants pour diminuer rapidement l'impact de ce fléau.
Un jour cependant, sauf catastrophe ou renoncement collectif, nous ne vieillirons plus ensemble. Cela peut signifier que nous ne vieillirons plus du tout ou que seulement certains, les plus pauvres, les malchanceux,... continuerons à vieillir. Pour les progressistes d'aujourd'hui, le droit à la vie est un droit humain fondamental, quel que soit l'origine, l'opinion ou la taille du portefeuille virtuel. Pour que ce soit encore le cas demain, il faudra être "technoprogressiste", exiger que les progrès en matière de longévité continuent à diminuer les inégalités. Concrètement, cela signifie:
- Faire des recherches en matière de santé une priorité à tous les niveaux. Aujourd'hui, les pauvres meurent plus rapidement de vieillesse que les riches.
- Financer des recherches scientifiques publiques en veillant à ce que les résultats des recherches soient communiqués largement. Ainsi, les progrès pourront être accessibles au plus grand nombre.
- Lorsque des recherches sont effectuées sur base de capitaux privés, exiger politiquement, juridiquement et socialement que les résultats soient rendus rapidement accessibles à tous, le cas échéant moyennant une juste rémunération des investisseurs non bénévoles.
RD
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