Selon Statistique Canada, les maux de dos sont parmi les
problèmes de santé chroniques les plus fréquents. Aussi impressionnant
que ça puisse paraître, quatre adultes sur cinq seront malheureusement
affectés par une crise de douleur au dos à un moment donné de leur vie.
Aussi fréquent chez l’homme que la femme, davantage chez les plus âgés
que chez les plus jeunes, le mal de dos altère la qualité de vie et peut
limiter la pratique de certaines activités, dont celle au cœur de cette
chronique, la course (notre préférée) !
Qu’est-ce que le mal de dos
Le mal de dos est médicalement appelé lombalgie. Elle se traduit par une blessure à un muscle, à un tendon ou à un ligament du dos. Cette blessure est le résultat d’un choc ou encore de petites lésions multipliées associées à un mouvement répétitif.
Chez le coureur, la lombalgie provient généralement de trois causes : une dégénérescence discale (l’usure des disques situés entre chacune des vertèbres), une subluxation vertébrale (le déplacement d’une vertèbre dû à l’affaiblissement d’un disque intervertébral qui ne peut plus bien faire son travail de maintien) ou une fameuse hernie discale (l’expulsion du gel contenu dans un disque qui vient entre autres comprimer ses racines nerveuses).
Comment la reconnaître
La lombalgie se traduit plus souvent par des douleurs lombaires dans la partie basse du dos. Ces sensations désagréables peuvent irradier dans une ou les deux jambes.
Parfois, la douleur pouvant être assez intense est ressentie au repos, principalement debout ou en position assise, ou encore à la course. Avoir mal au dos, c’est loin d’être un « ca-dos » !
Ce qui la cause
Généralement, la cause d’une lombalgie est plutôt mécanique. Paraît-il que l’intensité de la douleur n’est souvent pas le reflet de la gravité de la blessure... aïe.
Le médecin ne prescrit généralement pas d’examen d’imagerie tant que la situation n’est pas spécifique et qu’il n’y a aucun signe de caractéristique inquiétante.
Voilà que la cause précise est donc parfois difficile à établir d’autant plus que la blessure peut être multifactorielle.
Les muscles responsables de la flexion de la hanche que sont les psoas iliaques contracturés sans être étirés permettent parfois de mettre le doigt sur le bobo.
Il est à noter que certains facteurs peuvent augmenter le risque de lombalgie. L’âge, la grossesse, l’obésité et la faiblesse musculaire des muscles du tronc en sont de bons exemples.
La prévenir
Pour « endosser » la santé de son dos, il faut y faire attention par quelques petits conseils simples :
En général, l’application de froid est indiquée dans les situations d’inflammation, c’est-à-dire à la suite d’une blessure, par exemple. Lorsque les symptômes d’inflammation disparaissent, il est possible d’envisager d’appliquer de la chaleur.
Dans certains cas, il est conseillé d’appliquer du froid et du chaud en alternance... « dos-fficile » de s’y retrouver ! L’idéal est de consulter un professionnel de la santé du dos, question de voir clair au bout de la colonne !
RD
Qu’est-ce que le mal de dos
Le mal de dos est médicalement appelé lombalgie. Elle se traduit par une blessure à un muscle, à un tendon ou à un ligament du dos. Cette blessure est le résultat d’un choc ou encore de petites lésions multipliées associées à un mouvement répétitif.
Chez le coureur, la lombalgie provient généralement de trois causes : une dégénérescence discale (l’usure des disques situés entre chacune des vertèbres), une subluxation vertébrale (le déplacement d’une vertèbre dû à l’affaiblissement d’un disque intervertébral qui ne peut plus bien faire son travail de maintien) ou une fameuse hernie discale (l’expulsion du gel contenu dans un disque qui vient entre autres comprimer ses racines nerveuses).
Comment la reconnaître
La lombalgie se traduit plus souvent par des douleurs lombaires dans la partie basse du dos. Ces sensations désagréables peuvent irradier dans une ou les deux jambes.
Parfois, la douleur pouvant être assez intense est ressentie au repos, principalement debout ou en position assise, ou encore à la course. Avoir mal au dos, c’est loin d’être un « ca-dos » !
Ce qui la cause
Généralement, la cause d’une lombalgie est plutôt mécanique. Paraît-il que l’intensité de la douleur n’est souvent pas le reflet de la gravité de la blessure... aïe.
Le médecin ne prescrit généralement pas d’examen d’imagerie tant que la situation n’est pas spécifique et qu’il n’y a aucun signe de caractéristique inquiétante.
Voilà que la cause précise est donc parfois difficile à établir d’autant plus que la blessure peut être multifactorielle.
Les muscles responsables de la flexion de la hanche que sont les psoas iliaques contracturés sans être étirés permettent parfois de mettre le doigt sur le bobo.
Il est à noter que certains facteurs peuvent augmenter le risque de lombalgie. L’âge, la grossesse, l’obésité et la faiblesse musculaire des muscles du tronc en sont de bons exemples.
La prévenir
Pour « endosser » la santé de son dos, il faut y faire attention par quelques petits conseils simples :
- Faire de l’exercice en quantifiant son stress mécanique.
- Privilégier une position de sommeil neutre : sur le dos ou sur le côté en plaçant un oreiller entre les genoux.
- Adapter son poste de travail.
- Demander de l’aide pour soulever des objets lourds.
- Éviter de porter des souliers à talons hauts. Choisissez bien vos chaussures.
- Avoir un poids santé.
- Ne pas attendre avant de consulter son professionnel de la santé en chiropractie... La prévention a bien meilleur goût.
En général, l’application de froid est indiquée dans les situations d’inflammation, c’est-à-dire à la suite d’une blessure, par exemple. Lorsque les symptômes d’inflammation disparaissent, il est possible d’envisager d’appliquer de la chaleur.
Dans certains cas, il est conseillé d’appliquer du froid et du chaud en alternance... « dos-fficile » de s’y retrouver ! L’idéal est de consulter un professionnel de la santé du dos, question de voir clair au bout de la colonne !
RD
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