Vivre la vie d'un Senior

mardi 10 février 2015

vieillir et bien vivre chez soi


Vous voulez vivre le plus longtemps possible chez vous? Alors, la première chose à faire est de repenser votre façon d'aménager votre logement. 

 

En effet, avec le vieillissement viennent toutes sortes de petits inconvénients, pour ne pas dire de limites physiques à prendre en considération. Pour éviter les accidents de parcours, l'encombrement des lieux ou encore, améliorer l'aménagement de votre logement, nous vous recommandons de lire attentivement le GUIDE suivant :

« GUIDE POUR LA RÉALISATION DE TRAVAUX D'AMÉLIORATION ET D'ADAPTATION DU LOGEMENT »


Ce Guide a été préparé par ANAH (Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat),
www.anah.fr que vous pouvez obtenir gratuitement à l'adresse suivante :



LE SOMMAIRE DU GUIDE COMPREND DES RENSEIGNEMENTS DE PREMIÈRE IMPORTANCE CONCERNANT :

  • LES ABORDS ET LES PARTIES COMMUNES
  • LE LOGEMENT
  • LA CHAMBRE
  • LA CUISINE
  • LA SALLE DE BAINS ET LES TOILETTES
  • L'ADAPTATION DE L'HABITAT

À vous d'en profiter!

RD

dimanche 25 janvier 2015

Extraits de PETIT TRAITÉ DE VIE INTÉRIEURE : APPRIVOISER LA MORT

« Petit traité de vie intérieure » par Frédéric LENOIR Éditions PLON, 2010

Introduction : Apprivoiser la mort est le chapitre 18 PP 161 – 166 de cet ouvrage clair et concis, duquel on pourra naturellement tirer profit personnel, tant les sujets abordés sont variés. 
La vraie sérénité, la paix intérieure s’acquièrent, je l’ai montré tout au long de ce livre, à la seule condition d’accepter le donné de la vie. Dire « oui » à la vie consiste à dire oui à l’inéluctable, c’est-à-dire ce sur quoi nous n’avons aucune prise. Or, le plus inéluctable, c’est la mort. Et quel que soit l’amour que nous nourrissons envers cette vie, nous savons avec certitude qu’un jour nous cesserons d’exister, au moins dans ce corps. Nous le savons intellectuellement. Mais rares sont ceux qui parviennent à intégrer réellement cette idée. Comme le dit Freud, notre mort nous est à proprement parler « impensable », et nous vivons comme si nous étions immortels.
L’angoisse de la mort a conduit les premiers humains, il y a une centaine de milliers d’années de cela, à creuser les premières sépultures puis, progressivement, à les enrichir d’outils, de dons, de parures pour accompagner le disparu dans l’autre monde. Cette pratique, en signant la conscience de la finitude et l’espoir que celle-ci n’est pas définitive, a fondamentalement distingué l’être humain des autres animaux. Dans notre culture occidentale, forgée dans le terreau judéo-chrétien, il fut un temps où nous acceptions plus facilement la mort, dans la mesure où il nous était affirmé, et nous en étions sans doute convaincus, qu’elle n’était qu’une porte vers une autre vie dans l’au-delà. Nous vivions dans l’espérance que la rupture imposée n’était que provisoire. Aujourd’hui où le scepticisme a pris le pas sur la croyance, l’angoisse de la mort a ressurgi en nous, et de manière d’autant plus redoutable que nous la percevons comme une fin totale, un anéantissement. Pour nous en prémunir, nous avons occulté la mort, la nôtre et celle des autres : elle est devenue l’un de nos ultimes tabous.
La croyance en l’au-delà persiste fortement dans d’autres aires, je pense en particulier aux cultures orientales où la transmigration des âmes, la réincarnation, est donnée comme un fait objectif, et où elle est largement reconnue comme telle. Pour les croyants, c’est-à-dire l’écrasante majorité de ces populations, la mort n’est pas une fin, mais elle est englobée dans la vie ; elle est un passage qui s’inscrit dans un temps cyclique. Arnaud Desjardins me faisait très justement remarquer à ce propos la différence fondamentale entre l’Occident et l’Orient. L’Occidental, me dit-il, oppose spontanément au mot « mort » le mot « vie ». L’Oriental lui oppose le mot « naissance » : pour lui, naissance et mort sont deux moments de la vie de l’esprit, laquelle commence avant la naissance et continue après la mort. Seul le corps disparaît. Croyance ô combien rassurante, même si ces deux passages ne sont pas faciles à négocier et nécessitent un apprentissage dont les voies spirituelles asiatiques ont été conçues pour en livrer les clés.
Les monothéismes apportent certes la promesse que la mort n’est pas une fin définitive, mais ils se situent dans une vision linéaire et non cyclique du temps, qui impliquent les notions métaphysiques plus angoissantes de commencement et de terme. Par ailleurs, ils ne disent que peu de choses de la vie future dont ils affirment l’existence. Je connais des croyants qui ont très peur de la mort, même si leur foi est profonde. Ils ont peur de l’inconnu, et cela est tout à fait compréhensible. J’en connais d’autres, beaucoup plus rares, qui vivent, eux, non pas dans l’angoisse, mais dans l’attente de la mort. C’était le cas de l’abbé Pierre qui a commencé à la souhaiter et à l’attendre dès l’âge de dix-sept ans. Cet homme n’aspirait qu’à la plénitude de la vie éternelle, qu’à la rencontre aimante avec Dieu, même s’il n’en avait aucune représentation précise. Il était convaincu qu’après sa mort il ne serait plus entravé par les failles psychiques et physiques qui nous encombrent ici-bas, qu’il pourrait enfin s’épanouir dans son intériorité, qu’il pourrait enfin vivre l’amour dans sa plénitude. L’abbé Pierre est mort sereinement, comme la plupart des saints. Dans le Phédon, l’un de ses dialogues socratiques les moins connus, Platon nous dit que cette joie n’est offerte qu’au « vrai philosophe » dont l’âme est sortie du corps avec toute sa pureté » (82c). Parce que, de son vivant, il est « libre et affranchi de la folie de son corps » (67a), son âme est capable de « voir ce qui est invisible et intelligible » (64e), de connaître « l’essence pure des choses » (67b). Ce sage-là, ajoute-t-il, a travaillé toute sa vie, « plus que les autres hommes, à détacher son âme du commerce du corps » (65a).
Cela est loin d’être le cas pour l’écrasante majorité d’entre nous. Ainsi, je suis moi-même croyant ; j’entretiens, je l’ai déjà dit, une relation de cœur avec le Christ ; j’ai foi en l’existence d’une vie après la mort ; mais ma foi n’est pas une certitude sensible ou rationnelle. J’admets, avec mon intelligence critique, n’avoir aucune certitude à cet égard. Ma raison me dit que je suis peut-être dans l’illusion, et qu’il n’y aura peut-être rien après la mort, après ma mort. Ce doute est toujours là. Je ne sais donc ce qui en moi, de la foi ou du doute, l’emportera à l’ultime instant.
Outre les voies spirituelles, toute une tradition philosophique nous apprend à affronter cette angoisse universelle, à ne pas avoir peur de la mort, à accepter le fait qu’elle est partie intégrante de la vie. En somme, à essayer de vivre lucidement avec l’idée que nous allons mourir, plutôt que de refouler cette idée. Mais peut-être est-ce là l’un des principaux objectifs de la philosophie ? Montaigne en était en tout cas convaincu quand il affirmait que « philosopher, c’est apprendre à mourir1 ».
L’un des premiers philosophes à s’être explicitement déclaré athée était le Grec Épicure. Pour lui, il ne faisait pas de doute que la mort signe la disparition totale, corps et âme, de l’individu. Pour autant, il enjoignait ses disciples à ne pas la craindre, crainte qu’il disait totalement inutile, d’une part parce qu’elle n’empêche pas la mort, d’autre part, parce qu’elle empêche la pleine jouissance du plaisir de vivre. Dans sa Lettre à Ménécée, il résume ainsi ce qu’il n’aura de cesse d’affirmer par ailleurs : Habitue-toi à penser que la mort n’est rien pour nous. En effet, il n’y a de bien et de mal que dans la sensation ; or, la mort est absence de sensations. Par conséquent, savoir que la mort n’est rien pour nous rend cette vie mortelle heureuse… […]. Il y a plus rien à redouter de la vie quand on sait qu’il n’y a rien à redouter après la vie […]. Car il est vain de souffrir par avance de ce qui ne cause aucune douleur quand il est là. Le plus terrifiant des maux, la mort, n’est rien par rapport à nous puisque, tant que nous sommes, elle n’est pas, et quand elle est, nous ne sommes plus. Donc la mort n’existe ni pour les vivants, ni pour les morts […]. Le sage ne craint pas la vie, il ne craint pas non plus de ne pas vivre. »
Le sage est celui qui s’est préparé à la mort. J’entends par « préparation » le fait d’agir tout au long de sa vie de telle sorte que lorsque advient le moment de notre mort, nous pouvons nous en aller sans regrets, avec le sentiment d’avoir accompli cette vie le mieux possible, d’avoir « bien vécu », c’est-à-dire d’avoir mené une existence juste, droite, bonne ; d’avoir été, autant que possible, dans le vrai. Car il est terrible de mourir avec le regret d’avoir gâché sa vie. Chaque matin, je me prépare à ma mort, mais à la manière de Spinoza, pour qui « l’homme libre ne pense à rien moins qu’à la mort, et sa sagesse est une méditation, non de la mort, mais de la vie2 ». Je me réveille, en me disant que ceci est peut-être ma dernière journée. Et que je dois donc la vivre en pleine conscience, sans jamais abdiquer mes valeurs, c’est-à-dire la vivre de la meilleure manière possible, sans me laisser envahir par des émotions perturbatrices, pour moi ou pour les autres, sans accomplir un acte que je regretterai. Je dois, pour reprendre Marc Aurèle, « agir, parler, penser toujours, comme quelqu’un qui peut sur l’heure sortir de la vie3 ». En somme, la vivre de telle sorte que je puisse, le soir venu, m’endormir avec une conscience apaisée. Peut-être que je ne me réveillerai pas. Telle est la manière dont j’intègre, au jour le jour, dans ma vie, la dimension de notre finitude. Et ce n’est pas, au fond, à la mort, mais à la vie que je me prépare ainsi chaque jour.
Source :  http://bien.vieillir.perso.neuf.fr/apprivoiser-la-mort.htm

RD

dimanche 21 décembre 2014

Joyeuses fêtes à tous, de la part de Philomage


JOYEUSES FÊTES À VOUS TOUS!

LES ANNÉES PASSENT À LA VITESSE DE L'ÉCLAIR.

JE SUIS NÉ AU MILIEU DU XXe SIÈCLE, MAIS LA VIE CONTINUE.

MAINTENANT, JE SUIS EN TRAIN D'ÉPLUCHER LE PREMIER QUART DU XXIe SIÈCLE.




CONTINUONS À PROFITER DE LA VIE ET DE SES LARGESSES.

QUEL BEAU CADEAU QUE LA LONGÉVITÉ !

NOUS SOMMES LES PREMIERS HUMAINS, DE TOUTE L'HISTOIRE DE L'HUMANITÉ, À GOÛTER, EN GRAND NOMBRE, À CE CADEAU BÉNI QUE NOUS RÉSERVE LA VIE : DU TEMPS ET TOUJOURS PLUS DE TEMPS À VIVRE.

JOYEUSES FÊTES ET BONNE ANNÉE 2015!

RD (PHILOMAGE)

En général, êtes-vous heureux ?


Yvon Dallaire, Journal de Québec, 13 décembre 2014

Selon le psychologue Doyle Gentry, auteur du Bonheur pour les nuls, huit ingrédients sont essentiels pour atteindre et maintenir un état de bonheur authentique.

Les huit ingrédients du bonheur

1 Un sentiment de sécurité: l’insécurité stimule l’anxiété, l’incertitude et une tension généralisée alors que la sécurité calme, rend serein et crée une confiance réciproque.

2 Du contentement: être satisfait de ce que l’on a plutôt que de toujours rechercher ce que l’on n’a pas: profiter de son partenaire plutôt que de croire qu’«ailleurs serait meilleur».

3 De la satisfaction: un sentiment d’accomplissement et de confort (qualité) qui peut ou non s’accompagner de contentement (quantité).

4 Du recul: avoir une vue d’ensemble de notre vie personnelle et conjugale pour en voir l’évolution (positive ou négative) au-delà des moments difficiles de la vie à deux.

5 De la sérénité: c’est la tranquillité d’esprit (équanimité). La méditation la facilite. La quiétude consiste à trouver un endroit calme pour réfléchir en paix et ensemble.

6 Du plaisir: les plaisirs de la vie quotidienne liés à ce que vous êtes, ce que vous faites et ce qu’est et fait votre partenaire.

7 De la gratitude: la volonté de montrer que l’on s’apprécie, que l’on apprécie son partenaire et tout ce qui rend notre vie agréable. Elle s’oppose à la notion de dû.

8 Du bien-être: il est évidemment plus facile d’être heureux lorsqu’on est en bonne santé et suffisamment fortuné. Le sentiment subjectif de bien-être accroît la sensation de détente et améliore l’humeur... et l’amour.

La bonne voie

En conclusion, certains couples ne développent jamais ces ingrédients du bonheur parce qu’ils estiment qu’ils n’ont jamais assez d’argent, d’amour, de pouvoir, de plaisirs, de succès...

 D’autres couples savent être heureux parce qu’ils ont compris que la première raison d’être heureux, c’est d’être vivant et d’être entouré de gens à aimer et de qui être aimé, peu importe leurs conditions socio-économiques.

Repassez souvent le questionnaire ci-joint pour vérifier si vous êtes sur la voie du bonheur ou si vous faites fausse route. N’oubliez pas que le bonheur se trouve dans le chemin... et dans la destination.

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Dix questions sur le bonheur

Le psychologue américain Doyle Gentry a créé un questionnaire pour savoir si les gens se rapprochent du bonheur en général. J’ai adapté son questionnaire pour savoir si vous êtes près du bonheur conjugal.

1 En règle générale, vous sentez-vous en sécurité dans votre couple ?


2 Avez-vous le sentiment d’avoir tout l’amour dont vous avez besoin pour être heureux ?


3 Considérez-vous votre couple dans sa globalité plutôt que dans l’instant présent ?


4 Avez-vous un endroit calme et des moments de tranquillité où vous pouvez vraiment penser à vous deux ?


5 Êtes-vous satisfait de vos finances conjugales, de vos carrières respectives, de l’éducation de vos enfants, de votre sexualité ?


6 Êtes-vous satisfait de votre vie de couple de manière globale ?


7 Êtes-vous reconnaissant, envers vous-même et envers votre partenaire, de l’évolution que prend votre couple ?


8 Vous arrive-t-il d’atteindre une certaine tranquillité d’esprit conjugale (d’être sur la même longueur d’onde) ?


9 Vous arrive-t-il d’être content de vous et de votre partenaire ?


10 Considérez-vous votre état moral et votre état physique personnel satisfaisants ?

 RÉSULTATS :

Additionnez les chiffres correspondants à vos réponses. Pour chacune des questions suivantes, répondez par : 1. jamais 2. de temps en temps 3. régulièrement 4. très souvent.

MALHEUREUX : Si votre total est inférieur à 20, vous ne vous sentez probablement pas heureux.

DU TRAVAIL À FAIRE : Entre 20 et 35, vous n'êtes ni vraiment heureux ou malheureux, mais vous pouvez devenir plus heureux.

HEUREUX : Si votre score dépasse 35, soit vous êtes heureux, soit très proche de l'être.

RD

mardi 9 décembre 2014

Vieillir en beauté...



Prendre de l'âge ne devrait pas nous rebuter puisque, dès notre naissance, l'horloge de la vie commence à compter les années pour nous.

Voici un poème sur l'art de bien vieillir.





Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son coeur
Sans remord, sans regret, sans regarder l'heure
Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur
Car à chaque âge, se rattache un bonheur.

Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son corps
Le garder sain en dedans, beau en dehors
Ne jamais abdiquer devant un effort
L'âge n'a rien à voir avec la mort.

Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouce
À ceux qui se sentent perdus dans la brousse
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et qu'il y a toujours quelqu'un à la rescousse.

Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan
Être fier d'avoir les cheveux blancs
Car pour être heureux, on a encore le temps.

Vieillir en beauté, c'est vieillir en amour
Savoir donner sans rien attendre en retour
Car où que l'on soit, à l'aube du jour
Il y a quelqu'un à qui dire bonjour.

Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir
Être content de soi en se couchant le soir
Et lorsque viendra le point de non-recevoir
Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un au revoir.

Source :  http://ma-planete.com/belleschoses/websiteview/catid_16/id_10125/

RD

jeudi 13 novembre 2014

Pas de gènes associés à l'extrême longévité

Radio-Canada avec Agence France-Presse, 13 novembre 2014

Une femme âgée


Une vingtaine de grands centenaires comptant parmi les personnes les plus âgées de la planète ont vu leurs génomes séquencés dans le but de découvrir les secrets génétiques d'une longévité exceptionnelle. 

Résultat : Les chercheurs n'ont pas trouvé de variations génétiques spécifiques liées à une extrême longévité.

Le généticien Hinco Gierman et ses collègues de l'Université Stanford, en Californie, ont effectué le séquençage complet du génome de 17 de ces grands centenaires, mais n'ont pas trouvé de variations génétiques rares produisant des protéines qui pourraient expliquer leur longévité.

Même si ces résultats ne permettent pas de mieux cerner les mécanismes biologiques de la longévité, les auteurs ont quand même rendu public le séquençage de ces génomes pour de futures recherches.

La chute du taux de natalité et la forte augmentation de l'espérance de vie font que la population américaine vieillit rapidement. Selon le Bureau du recensement, un Américain sur cinq aura plus de 65 ans d'ici 2050, et au moins 400 000 seront alors centenaires.

Le détail de ces travaux est publié dans la revue PLOS 1.

Le saviez-vous?

Pas moins de 74 grands centenaires ont été recensés sur la planète. Tous ont plus de 110 ans, et de ces personnes, les plus vieilles de l'humanité, 22 vivent aux
États-Unis.

RD

mardi 11 novembre 2014

Nouveau livre : « Souriez, vous êtes à la retraite !




Souriez, vous êtes à la retraite !
750 conseils et suggestions pour en profiter

Par l'auteur François Bernatchez

Alors qu'une génération entière se trouve au seuil de la retraite et se préoccupe de la transition importante que représente cette étape de la vie, un constat s'impose : on n'envisage plus la retraite comme autrefois. En effet, il s'agit non pas de voir cette phase comme un arrêt de travail brutal et irrémédiable, mais bien de l'envisager sereinement, en renouant avec ses passions et en découvrant de nouvelles activités.

L'auteur a conçu cet ouvrage à partir des préoccupations et des commentaires émis par les auditeurs de ses conférences. Il dévoile entre autres au lecteur les onze secrets pour bénéficier d'une retraite heureuse et des pistes pour l'aider à débusquer ses futures passions. Il donne aussi une liste d'activités variées, organisées selon les types de personnalité et les intérêts.

Tous les outils, en somme, pour profiter pleinement de cette période riche et épanouissante !

 ISBN : 9782895625841
Date de parution : août 2014
Sujet : Psychologie
Nombre de pages : 222 pages
Statut : Disponible
24,95 $

 Autres formats disponibles

Livre au format ePub ePub 17,99 $


Site : PUBLISTAR

RD