Vivre la vie d'un Senior

mardi 18 mars 2014

La notion de « génération » n'existait pas au Moyen Âge





D'après l'historien Jean-Pierre Bois, la notion de « génération » n'existe pas au Moyen Âge. Il faut attendre le XIXe siècle pour que se noue une relation privilégiée entre grands-parents et petits-enfants, telle que nous la connaissons aujourd'hui

ENTRETIEN AVEC : (Propos recueillis par LA CROIX 


Jean-Pierre Bois, professeur d'histoire émérite de l'université de Nantes, France 

 

De quand datent la notion de génération et l'intérêt porté aux relations entre les âges ?

Jean-Pierre Bois : Au Moyen Âge, cette notion n'existe pas, parce qu'on ne situe pas les individus selon leur âge, mais selon leur utilité sociale. L'âge n'a alors aucune fonction, puisque dès 7-8 ans on peut travailler. D'ailleurs, les gens ne connaissent pas leur date de naissance.

Le concept d'âge apparaît avec les premiers registres, à partir du XVIe siècle. Quant à la notion de génération, elle se fait jour avec l'apparition d'une troisième génération, un processus lent qui s'opère entre la fin du XVIIe et le milieu du XIXe siècle. 

Parle-t-on alors de liens intergénérationnels ?

Pas du tout, ce serait anachronique ! Le concept d'intergénération correspond à notre époque. Au XVIIIe siècle, les relations entres les âges sont complètement naturelles, on ne les problématise pas. Elles s'opèrent dans le cadre familial, dans une société rurale où les plus âgés font partie de la communauté.

Ces derniers, qui travaillent plus lentement, ont un rôle de transmission. Transmission du savoir - dans les campagnes, à cette époque, on est beaucoup moins ignares qu'on ne le pense, on connaît des rudiments de lecture, on sait compter… - mais, surtout, transmission de repères pour la communauté, à travers le récit de contes, lors des veillées paysannes par exemple. La tradition orale est très prégnante. Au XIXe, la révolution industrielle change toutefois la donne. 

C'est-à-dire ?

L'industrialisation fait de nombreux laissés-pour-compte, avec un fort exode rural et des gens condamnés à la misère. Le prolétariat vit dans une précarité difficile à mesurer aujourd'hui : s'il n'y a pas de travail, on ne mange pas le soir.

Dans ce contexte, et dans ces classes sociales, les parents n'ont guère le temps de la transmission ; quant aux personnes âgées, elles se retrouvent exclues ; la misère est telle qu'il n'y a plus de place pour elles, qui n'ont pas de force physique et ne sont pas adaptées à la machine.

Dans les catégories sociales aisées, c'est tout à fait différent. La génération des grands-parents acquiert une position sociale prestigieuse, l'homme étant le patriarche, doté d'un vrai pouvoir sur la famille, et la femme d'un véritable rôle à l'égard des plus jeunes.

C'est d'ailleurs au XIXe siècle que naît la figure de la grand-mère, telle que nous la concevons aujourd'hui ; cette dernière peut se consacrer - davantage que la mère, qui mène une vie sociale plus intense - à ses petits-enfants.

Surtout, apparaît alors l'affection entre grands-parents et petits-enfants ; la grand-mère est celle qui apprend à aimer, qui s'occupe des jeunes pendant les vacances, dès les lois Guizot sur l'école de 1832.

Pourquoi ressent-on aujourd'hui le besoin de développer les projets intergénérationnels ?

Dans le sillage de la révolution industrielle, des systèmes d'assistance sociale et de prévoyance ont peu à peu vu le jour. L'État a pris une place nouvelle auprès des laissés-pour-compte, comblant les défaillances de groupes qui s'étaient disloqués. Mais, ce faisant, il a en quelque sorte dépossédé la famille de certaines de ses fonctions.
 
Dans le même ordre d'idées, on exige de l'école qu'elle assume tout ce qui a trait au savoir et à la transmission, ce qui outrepasse son rôle.

À mon sens, l'élan intergénérationnel marque une volonté de se réapproprier les choses, de se protéger d'une trop grande intrusion de l'État. D'autant qu'aujourd'hui les familles sont éclatées géographiquement, recomposées, ce qui complique les rapports entre les générations. D'où la volonté de les recréer autrement. 

À cet égard, qu'a changé l'apparition, au XXe siècle d'un « quatrième âge » ?

Avec les progrès de la médecine et l'allongement de la vie est apparu une génération nouvelle, confrontée - comme aucune autre avant elle - à la dépendance : physique, morale, financière…
Parce qu'elle ne « colle » pas au credo d'une société matérialiste, qui valorise la performance et la jeunesse, cette génération est mise à l'écart. C'est tout l'enjeu des projets intergénérationnels que de lui redonner une place et de la réinscrire dans la pyramide familiale.

RD

Bilan des Cafés des âges au Québec

Les Cafés des âges constituent la première phase des Rendez-vous des générations de l’Institut du Nouveau Monde (INM), un dialogue citoyen sur le vieillissement du Québec qui s'est déroulé de l’été 2009 jusqu’au printemps 2011.
D'août 2009 à mai 2010, près de 3 000 personnes ont participé à la soixantaine de cafés des âges organisés dans une quinzaine de régions du Québec. Les propos émis lors de ces rencontres ont été rassemblés en un rapport synthèse, disponible ci-dessous.

 Télécharger la synthèse
Document PDF (0,56 Mo)

SITE de l'INM :  http://www.inm.qc.ca/



PRÉSENTATION DE MICHEL VENNE, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L'INM

Depuis quelques années déjà, les groupes d’aînés mais aussi des experts, des groupes de travail et des mouvements sociaux recommandent d’engager une réflexion approfondie et collective sur les dimensions objectives et les impacts du vieillissement de la population du Québec. La démarche des Rendez-vous des générations de l’Institut du Nouveau Monde est faite pour répondre à cette demande.

L'importance de ce débat ne se dément pas. Surtout que le Québec est l’une des sociétés où le vieillissement collectif sera le plus rapide au monde.

Ce phénomène change beaucoup de choses. L’équilibre entre les générations est bousculé. La proportion de jeunes diminue. Les aînés pour leur part vivent plus longtemps et plus longtemps en bonne santé qu’avant. Des besoins nouveaux apparaissent.

Le plus important est que l’allongement de la vie fait que, maintenant, cinq générations cohabitent au sein de la société québécoise. Il est révolu le temps où l’on parlait des trois âges de la vie : celui de l’apprentissage, celui du travail et celui de la retraite. Le parcours linéaire commun à tous jusqu’à un passé récent est en train d’éclater. On peut, à tout âge, retourner aux études, sortir du monde du travail, y revenir dans un autre métier, à temps partiel ou à temps plein, et rester très actif à l’âge que l’on dit de la retraite.

La vraie question posée par le vieillissement collectif est celle-ci : comment ces cinq générations vont-elles créer une solidarité nouvelle et, ensemble, trouver les moyens de composer avec les défis posés à un Québec vieillissant qui entend demeurer une société pour tous les âges ?

Nous comptons, au terme des Rendez-vous des générations, répondre à cette question en adoptant une Déclaration des générations. Cette déclaration comportera les principes d’un nouveau contrat social entre les générations et des pistes d’action pour le mettre en oeuvre.

Pour arriver à ce résultat, nous avons conçu une démarche en quatre étapes. Le présent document fait état de la synthèse des propos tenus lors de la première phase de la démarche qui a pris la forme d’une soixantaine de Cafés des âges organisés entre août 2009 et mai 2010 dans une quinzaine de régions du Québec grâce à la collaboration de nos nombreux partenaires régionaux. Quelque 3 000 personnes y ont participé.

Besoin d'une politique fondée sur le dialogue

L’importance de ce débat ne se dément pas. Je vous laisse prendre connaissance de la synthèse des propos des citoyens. J’en retiens personnellement trois choses:
  • À l’égard du vieillissement, la population ressent une certaine inquiétude qui se voit dans l’émergence et la récurrence des thèmes liés à la santé, au financement des services publics et des retraites et à une éventuelle pénurie de main-d’oeuvre. Les Québécois demandent aux décideurs publics de reconnaître l’importance du phénomène et d’adopter une ou des politiques à cet égard.
  • Les principaux constats font consensus entre les générations. Les inquiétudes à l’égard du système de santé ou à l’égard des transformations du marché du travail sont partagées par les citoyens de tous les âges. Pas toujours pour les mêmes raisons, c’est vrai. Mais le fait que tous se préoccupent des mêmes problèmes indique qu’il sera possible d’animer un dialogue pour trouver, ensemble, les solutions.
  • Enfin, l’expérience des Cafés des âges a montré que le besoin le plus important créé par le vieillissement de notre société concerne l’instauration et la multiplication des lieux et des occasions de dialogue entre les personnes de générations différentes. Parmi les préoccupations qui ressortent des discussions, plusieurs concernent la nécessité de démystifier les préjugés et de faire tomber les tabous à l’égard du vieillissement, de combattre l’âgisme et le jeunisme, d’aborder franchement le partage du pouvoir et des responsabilités entre les générations et de concevoir des pistes de collaboration, de partage et de transmission entre Québécois de tous les âges.
RD

lundi 17 mars 2014

Le secret de l'exceptionnelle longévité des habitants d'Okinawa, Japon


  File:Alpinia zerumbet 3.jpg


Okinawa était, il y a une dizaine d’années seulement, la région du monde dans laquelle l'espérance de vie était la plus longue. Un scientifique japonais s’y intéresse depuis longtemps et il pourrait bien avoir découvert le secret de cette surprenante longévité. Il est bien connu que le régime alimentaire, l’exercice physique et la joie de vivre sont à la base de cet accroissement de la durée de la vie. Mais, la consommation d’une plante, le « Ghetto (ou alpinia zerumbet) » (Getto en japonais) pourrait contribuer tout particulièrement à cette longévité.


Les Japonais sont connus pour établir des records en matière de longévité. Depuis juin 2013, le rôle de doyenne de l'humanité est d'ailleurs détenu par une Japonaise, Misao Okawa âgée de 115 ans. Mais une région particulière du Japon a acquis une réputation mondiale dans ce domaine : Okinawa.

Et pour cause, comptant quelque 30 îles, cet archipel bat des records en matière de longévité. "Okinawa jouissait il y a encore quelques décennies de l'espérance de vie la plus longue au monde", explique le scientifique japonais Shinkichi Tawada. Plus impressionnant encore, l'archipel détient le plus grand nombre de centenaires à l'échelle de la planète, avec selon les estimations, environ 33 centenaires pour 100.000 habitants. Un record qui suscite un grand intérêt chez les scientifiques.

D'où les habitants d'Okinawa tirent-ils leur exceptionnelle longévité ? De leur alimentation, selon les spécialistes. Une plante, source de jeunesse. Ainsi, Shinkichi Tawada, professeur en agronomie à l'Université des Ryukyu de Nishihara, à Okinawa s’est "toujours intéressé aux substances qui, dans l’alimentation traditionnelle, en sont à l’origine".

Après bientôt 20 ans de recherche, il pourrait finalement avoir percé le secret. Selon les derniers travaux qu'il a menés avec ses collègues, ce dernier résiderait dans un liquide ambré dont se dégagent des parfums tropicaux, suaves : l’huile essentielle de fleur de ghetto ([guetto] ou alpinia zerumbet). Cette plante appartient à la famille du gingembre, et présente de grandes feuilles vertes, de petites baies rouges et des fleurs blanches.

Or, elle regorge de resvératrol, un antioxydant qu’on retrouve dans le raisin (donc dans le vin) et dont les effets sur la longévité sont bien connus. Mais peu nombreux sont ceux qui s’intéressent aux touffes de ghetto sauvage qui poussent sur le bord des routes. Pour en savoir plus, Shinkichi Tawada et ses collègues ont donc mené des tests sur des démotodes (alpinia zerumbet), une variété de vers ne vivant qu’un mois.

Après les avoir exposés quotidiennement au ghetto, les vers ont vécu 22,6% de temps de plus que les autres. "Traditionnellement, les habitants d’Okinawa ont toujours considéré qu’en mangeant le muchi [un plat d’hiver composé de pâte de riz entourée d’une feuille de ghetto], on s’immunise contre le rhume, et l’on gagne force et vigueur", explique M. Tawada. Une tradition culinaire qui se perd.

La consommation de ghetto serait donc le secret de la population d'Okinawa et pourrait aussi expliquer la baisse de l'espérance de vie actuelle. En effet, à Naha, la principale ville d'Okinawa, les chaînes de hamburgers, de bagels à emporter et les steakhouses ont remplacé les restaurants traditionnels. Il s’agit de rassasier les 19.000 militaires américains en faction sur l’île ; et leur alimentation a en partie déteint sur les habitudes locales, faisant peu à peu abandonner les plats à base de ghetto.

"Aujourd’hui les jeunes mangent beaucoup trop de fast food. L'espérance de vie est en train de baisser considérablement", explique le chercheur. Même si les Japonaises d’Okinawa continuent à vivre 87 ans en moyenne, la moyenne des hommes a chuté et n’est plus que de 79,4 ans, soit moins que la moyenne nationale. En parallèle, on note le taux d’obésité le plus élevé du pays. Pour le professeur Tawada, "il est temps de renouer avec les traditions culinaires de la région". Pour l’heure, les vieilles dames achètent encore des légumes traditionnels tels que le ghetto (ses feuilles) et le goya (une courge amère) qui présente lui aussi des vertus intéressantes. Le professeur Tawada lui, a démontré les bienfaits du getto et les commerçants ont, semble-t-il, flairé la bonne affaire.  

Un secret à exporter ?

Pour ce faire, Keiko Uehara, une commerçante, a mis en vitrine toute une gamme de produit de beauté à base de cet "élixir de jouvence". "Ici, on en consomme en infusion depuis toujours et ça vous rajeunit. Une eau de beauté tirée de la plante sans alcool fait en outre disparaître toutes les rides", explique la vendeuse qui ne paraît pas ses 64 ans.  

Même si "aujourd’hui, le getto est utilisé dans les produits de beauté, ce n'est qu'une partie de son potentiel. On peut l’utiliser dans le domaine médical et d'autres secteurs à forte valeur ajoutée", estime le professeur Tawada. Aussi, dans les champs, des agriculteurs envisagent d’augmenter leur production. "Nous ne voulons plus nous contenter d’Okinawa, nous voulons conquérir le marché international et exporter le getto”, déclare Isamu Kina, de la société Rich Green, principale productrice dans la région.

Source : Publié par Emmanuel Perrin, le 24 décembre 2013, Gentside Découverte


RD
Okinawa était, il y a une dizaine d’années seulement, la région du monde dans laquelle l'espérance de vie était la plus longue. Un scientifique japonais s’y intéresse depuis longtemps et il pourrait bien avoir découvert le secret de cette surprenante longévité.

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/long%e9vit%e9/le-secret-de-l-039-exceptionnelle-longevite-des-habitants-d-039-okinawa-enfin-decouvert_art31666.html
Copyright © Gentside Découverte
Okinawa était, il y a une dizaine d’années seulement, la région du monde dans laquelle l'espérance de vie était la plus longue. Un scientifique japonais s’y intéresse depuis longtemps et il pourrait bien avoir découvert le secret de cette surprenante longévité.

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/long%e9vit%e9/le-secret-de-l-039-exceptionnelle-longevite-des-habitants-d-039-okinawa-enfin-decouvert_art31666.html
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Okinawa était, il y a une dizaine d’années seulement, la région du monde dans laquelle l'espérance de vie était la plus longue. Un scientifique japonais s’y intéresse depuis longtemps et il pourrait bien avoir découvert le secret de cette surprenante longévité.

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/long%e9vit%e9/le-secret-de-l-039-exceptionnelle-longevite-des-habitants-d-039-okinawa-enfin-decouvert_art31666.html
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samedi 15 mars 2014

S'intéresser au dialogue intergénérationnel au Canada, au Québec ou encore en Belgique






PERMETTEZ-MOI DE VOUS PRÉSENTER LE SITE :

« Association l'amitié n'a pas d'âge »  

Activement impliquée depuis 25 ans, tant au niveau de la promotion que de la réalisation de projets intergénérationnels, l'Association l'amitié n'a pas d'âge tente de rejoindre les intervenants, les organismes et la population en général (aînés, jeunes, adultes).

Par son action, l’Association l’amitié n’a pas d’âge tâche d’attirer l’attention de l’ensemble de la population sur le rôle des échanges intergénérationnels dans le renforcement des mailles du tissu social.

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NE MANQUEZ PAS L'ÉVÉNEMENT SUIVANT :

27e Semaine l'amitié n'a pas d'âge
Du 25 au 30 mai 2014 (Montréal)

« De racines en bourgeons pour une société solidaire» !
Gala animé par la journaliste Catherine Pépin

Adresse Internet pour se renseigner :  http://www.amitieage.org/

JOINDRE  L'ASSOCIATION :

Adresse postale :

1474, rue Fleury Est
Montréal (Québec)  H2C 1S1

Téléphone :

514 382-0310 poste 209

Télécopieur :

514 381-3462

Courriel général :

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VOUS POUVEZ AUSSI VISITER L'ÉQUIVALENT BELGE DE CE SITE :  

VISITEZ LE SITE : ATOUTAGE.

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 LE SITE « l'amitié n'a pas d'âge » offre un centre de documentation virtuel qui permet aux personnes préoccupées par ces questions de se renseigner ou de se documenter. Pour vous simplifier la tâche ET METTRE EN VALEUR LE CONTENU DE CE CENTRE DE DOCUMENTATION VIRTUEL, j'ai fait un copie-coller de son contenu. 

Centre de documentation virtuel

Le centre de documentation de l'Amitié n'a pas d'âge est mis en place depuis l'automne 2010. Ce nouvel outil auquel vous pourrez accéder via notre site Internet met à votre disposition des publications ainsi que des guides, des recherches et des sites Web sur des thèmes qui touchent les activités intergénérationnelles, le mentorat, la transmission des savoirs, enfin tout ce qui rejoint de près ou de loin les activités de notre association.

Centre de ressources et de documentation


LES RELATIONS INTERGÉNÉRATIONELLES AU CANADA
Le pont entre les générations
Les dialogues intergénérationnels
Rendez-vous des générations de l'Institut du nouveau monde
Projets intergénérationnels francophones au Canada


LES RELATIONS INTERGÉNÉRATIONELLES AU QUÉBEC
Lien intergénérationnel et transmissions
Force Jeunesse
Génération d'idées
Salon mieux vivre
Mouvement de pression politique non partisane pour les personnes aînées du Québec


L'INTERGÉNÉRATIONNEL AILLEURS
Littérature intergénérationelle
Entr'âges
Le bienfait des contes
Le dialogue et la compréhension mutuelle
L'intergénération à l'adolescence
L'habitat intergénérationnel! Une alternative?
" De l'intergénérationnel, vite! "
Répertoire de pratiques intergénérationnelles 
Le défi des relations interâge
AccordagesAssociation Parentel Réseau Internet Francophone Vieillir en liberté
Enjeux démographiques et intergénérationnels
2012, année européenne du vieillissement actif


LA TRANSMISSION DES VALEURS
Transmettre les valeurs à l'école
Accompagnement à la lecture, la poésie…
Les valeurs et le dialogue intergénérationnel( Phil.Meirieu)


LA TRANSMISSION DES SAVOIRS
Pour former la relève ( Carrefour emploi jeunesse)


REVUE DE LITTÉRATURE
Transfert intergénérationnel des connaissances (Consultez la revue pdf.)
Repenser la vieillesse, renouveler les pratiques (Revue Calenda)
Transmission générationnelles des institutions politiques, culturelles…(Revue Calenda)
Le partenariat intergénérationnel en entreprise (Partage d'expérience)
Le concept d'intergénération dans l'histoire 
Oser changer! Créer un pont


LES CAFÉS DES ÂGES AU QUÉBEC
Histoire et déroulement
Les cafés dans votre région
Bilan des Cafés des âges (2010)


CAFÉ DES ÂGES (AILLEURS)
Une vidéo politique…le respect entre générations



PROJETS INTERGÉNÉRATIONNELS

Main dans la main pour les échanges intergénérationnels
Chorale intergénérationelle
Suggestions d'activités intergénérationnelles ( Accompagner, cuisiner, téléphoner…)
Intergénérationnel : Recensement de 8 projets originaux
Mettez vos compétences à l'oeuvre
Échange de connaissances entre ados et aînés
Rassemblement des aînés Vaudreuil-Soulanges
Santropol roulant
Projet photographique intergénérationnel
Pour la compréhension et la reconnaissance
Jeunes bénévoles à Rivière du Loup
Tricotons des liens
Des poèmes qui ont ni âge et ni frontière concoctés à l'école Duvernay


LE MENTORAT
Mentorat Québec. Qu'est-ce que le mentorat?
Réflexions et innovations! Puis-je m'impliquer?
Le mentorat au secours des femmes
Mentorat et estime de soi
Témoignage d'un cheminement (vidéo)
Un blogue qui en dit beaucoup …
Le mentorat! Est-ce pour moi?
Le mentorat d'entreprise vous intéresse?
Partagez votre expérience…en Abitibi


LES RERS : Les réseaux d'échanges réciproques de savoirs
Les principes qui sous-tendent les réseaux de transmission
Fonctionnement et liste des réseaux réciproques de savoirs


ACTIVITÉS INTERGÉNÉRATIONELLES
Les TIC aident-elles les relations inter-âge?
Canot-camping intergénérationnel


AUTRES SUJETS …
La solidarité intergénérationnelle dans la famille
Quatre générations dans un milieu de travail
" Videochat " nouvelle génération
Pourquoi l'intergénérationnel est-il un sujet d'actualité?
Les aînés dans une société intergénérationnelle
La cohabitation intergénérationnelle
Comment faire cohabiter les générations?


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LE DIALOGUE INTERGÉNÉRATIONNEL À PERPIGNAN, FRANCE (EXEMPLE)


Perpignan (en catalan Perpinyà) est une ville du sud de la France, chef-lieu du département des Pyrénées-Orientales, dans la région Languedoc-Roussillon.

Ancienne capitale continentale du royaume de Majorque, Perpignan fait le pont entre la péninsule Ibérique et le sud de la France. Elle est aujourd'hui le principal centre intellectuel, culturel, politique et économique du sud de la région et du nord de la Catalogne.
Perpignan comptait 118 238 habitants intra-muros lors du recensement de 2013. Elle est la 30e commune la plus peuplée de France. En 2010, la population de son aire urbaine était de 305 837 habitants. Il s'agit de la deuxième du Languedoc-Roussillon et l'unité urbaine de Perpignan était de 190 668 habitants en 2010.


28 % de la population de Perpignan aura plus de 65 ans en 2020. Cet allongement de la durée de vie implique une attention particulière aux conditions de vie des plus âgés, prenant en compte leurs attentes et les difficultés qu’ils rencontrent, notamment dans les situations d’isolement. Il apparaît essentiel aux édiles de la ville de Perpignan de renforcer les liens intergénérationnels, la solidarité et la mixité. Un exemple européen à suivre ou à imiter.... À vous de juger!


RD